La Grande Librairie du Mercredi 17 janvier 2024

Le Mercredi 17 janvier 2024,  Augustin Trapenard reçoit Christophe André, Marie Darrieussecq, Claro, David Foenkinos, et Raphaëlle Red

Christophe André » S’estimer et s’oublier » (Odile Jacob)

Sous forme d’abécédaire, le psychiatre et psychothérapeute Christophe André nous montre comment l’estime de soi doit devenir une sorte de respiration de notre esprit. Une notion qui est là pour nous aider à vivre, mais sur laquelle on ne doit pas se focaliser. Il nous exhorte à trouver un juste équilibre pour harmoniser sa relation à soi et aux autres.

Marie Darrieusecq » Fabriquer une femme » (POL)

Ce roman raconte l’entrée dans la vie adulte de deux amies adolescentes. Ce sont les années 80, en province dans le Pays basque, à Bordeaux, puis à Paris. Un roman sur l’apprentissage féminin, maladroit, drôle, souvent douloureux, de la sexualité, de la vie amoureuse et du couple. Mais aussi celui des ambitions intimes et sociales de deux jeunes femmes « en construction»

Claro « L’échec, Comment échouer mieux » (Autrement)

Cet essai est une vision positive de nos failles et de nos échecs. Avec humour et sensibilité, Claro dresse la liste de ses propres errements et nous invite à repenser nos limites et nos fêlures, et à en considérer les bienfaits.

David Foenkinos, « Une vie heureuse » (Gallimard)

Ce roman est l’histoire d’un homme mal dans sa vie, victime d’un burnout, mais qui va rebondir grâce à une expérience qu’il fait en Corée. Il découvre l’existence d’une étrange et surprenante entreprise qui permet aux gens de vivre leurs funérailles comme s’ils y étaient… Un livre sur la possibilité de refaire sa vie à n’importe quel moment de notre existence.

Raphaëlle Red « Adikou » (Grasset) 1er roman

Ce premier roman est la quête d’identité d’une jeune métisse qui s’interroge sur la couleur de sa peau, et mène l’enquête sur les origines de son père. Des origines marquées par l’esclavage et la colonisation.