Dans « Le Ciel ouvert » (Actes Sud), Nicolas Mathieu regroupe ses publications Instagram. Cette somme de poèmes est illustrée par les dessins d’Aline Zalko
Quatrième de couverture
« Je vous souhaite d’être follement aimée », écrivait André Breton. Dans ce recueil de poèmes qui constituent autant de microfictions incandescentes, publiées au fil des années sur Instagram, Nicolas Mathieu dessine les visages de cet amour fou et donne à voir un monde de coïncidences, d’analogies et de banalités transformées en trésors : les villes entrevues, la mer, les rencontres et les commencements, le désespoir et les joies, le bonheur intenable, les saisons, les matins au lit et les dîners avortés, les gueules de bois, l’attente, la désertion, l’enfance et la fin qui viendra. Chaque page raconte nos détresses et nos émerveillements, l’épreuve des corps, l’amour pour un père, une femme, un enfant : les fragments de ce monde qui résiste encore à l’absence et à l’oubli.
Revue de Presse
« Un carrousel d’instants, de mots, de confidences, de réflexions, qui embrasse rondement, intensément, puissamment, en une centaine de pages, l’essence d’une vie humaine. L’amour sous tous ses jours, qui extrait celui qui aime du cours du temps et lui fait oublier, un moment, que « la vie est presque toujours au-dessus de nos forces ».
Nathalie Crom, TÉLÉRAMA
« … D’emblée nous avons été emporté·es, puis de plus en plus heureux·ses que quelqu’un, enfin, nous parle cette langue-là – hors des clichés, des faux-semblants, des règles étouffantes, hypocrites, de la sociabilité…. Un premier récit autobiographique somptueux ».
Nelly Kapriélian, LES INROCKUPTIBLES
« C’est sublime car Nicolas Mathieu raconte l’amour de tout le monde. Chacun de nous peut se reconnaître ».
Olivia de Lamberterie, TÉLÉMATIN
« Ce Ciel ouvert brûle d’une passion folle, incandescente. II peut rappeler à chacun des amours qu’il croyait uniques ».
Serge Sanchez, LIRE MAGAZINE
« Nicolas Mathieu est bien plus qu’un excellent écrivain. C’est un magicien des mots et des maux qui n’en finit pas de nous surprendre ».
Sandrine Bajos, LE PARISIEN
« Cette somme de poèmes en prose trace une trajectoire, une ligne de vie portée par l’amour, par la révolte et par la littérature ».
Laurence Houot, FRANCE INFO
« Animé d’une énergie extraordinaire ».
Didier Jacob, L’OBS
« Il y a des passages qu’on a envie de lire à voix haute, quand il écrit par exemple « Moi, je ne sais rien sauf que je t’ai perdu un jour de soleil » où encore « j’échangerai sans hésiter 1000 ans d’écrivains pour une seconde de tes yeux ». Il n’est pas en train de jeter la littérature à la poubelle, il est simplement en train de dire que la vie, parfois, vaut largement la littérature et que le récit qu’on en fait n’éclaire pas ce qu’on a vécu. Le récit peut consoler, mais pas éclairer. Je trouve cela assez juste, il y a de très très beaux passages. »
Patricia Martin, FRANCE INTER – Le Masque et la Plume
« Un roman rare, tissé d’éclats de poésie, d’une rage de vivre et d’une mélancolie souvent poignante ».
Dorothée Werner, ELLE
« Si intime et pourtant si universel ».
Émilie Grangeray, LE MONDE DES LIVRES
Sur l’amour, je n’ai jamais lu quelque chose d’aussi beau.
Nelly Kaprièlian, FRANCE INTER – Le Masque et la Plume
« À chaque page, l’écrivain si doué pour saisir le quotidien tel que le façonne l’époque, si bon portraitiste des corps en mouvement, met des mots sur une usure, une fatigue, une impuissance partagées ».
Virginie Bloch-Lainé, LIBÉRATION
« Des morceaux choisis, poétiques, sociologiques et politiques dont l’originalité, la pertinence et la colère, parfois, se savourent mot à mot ».
Marie-Aimée Bonnefoy, LA CHARENTE LIBRE