La Grande Librairie se met à l’heure américaine à l’occasion des élections présidentielles le 5 novembre prochain.
Au lendemain de ce qui sera une élection majeure dans l’histoire des Etats-Unis, des écrivains américains et français apporteront leur lumière sur l’Amérique d’aujourd’hui et de demain, et sur la place de la littérature face à un tel enjeu politique.
En exclusivité télé et radio, le plus français des écrivains américains, Douglas Kennedy, donnera ses premières impressions et réactions sur celui ou celle qui remportera ces élections. Son nouveau livre « Ailleurs, chez moi » (Belfond) continue son travail autobiographique et offre une exploration d’une Amérique plus désunie que jamais avec une œuvre palpitante, pleine de souffle et de panache, pour raconter la richesse et les contradictions de son pays.
L’essayiste américain Eddy L. Harris qui vient de publier « Confession américaine » (éditions Liana Levi) un livre qui mêle son histoire personnelle à la grande histoire américaine et s’intéresse notamment aux raisons de l’émergence de Trump.
À leurs côtés, les romancières françaises Marie Vingtras (« Les âmes féroces » éditions de L’Olivier) et Bénédicte Dupré Latour (« Terres promises » Éditions du panseur) dont l’Amérique représente pour elles un pays fascinant et fantasmé. Un territoire qui a nourri leur imaginaire et constitue la toile de fond de leurs romans.
Philippe Labro, grand spécialiste des Etats-Unis, viendra apporter son analyse en tant que journaliste mais aussi en qualité de romancier dont le nouveau livre « Deux gimlets sur la 5e avenue » (Gallimard) se passe à New-York.
La romancière Katherine Pancol (« Les platanes de Manhattan » Albin Michel) rentrera spécialement des Etats-Unis, où elle a suivi la campagne auprès d’une journaliste, pour nous raconter en exclusivité les coulisses de cet évènement. Elle qui, en 1977, était auprès de Jimmy Carter lors de son élection et couvrira ensuite la campagne de Ronald Reagan qu’elle a également interviewé.
Avant de devenir romancier et réalisateur, Marc Dugain a travaillé dans la finance à New York au cœur des années 1980. Cette ville où il a rêvé de réussir et peut-être de faire carrière mais dont le destin en a décidé autrement. Dans son nouveau livre « L’avion, Poutine, l’Amérique…et moi » (Albin Michel) il raconte ces années-là.