Dans la Grande Librairie du Mercredi 25 septembre , Augustin Trapenard accueille James Ellroy pour « Les Enchanteurs » (Rivages), Yasmina Reza « Récits de certains faits » publié chez Flammarion, Philippe Jaenada pour « La désinvolture est une bien belle chose » (Mialet-Barrault)
Antoine Compagnon pour « La littérature ça paye ! » (Éditions des Équateurs), Justin Morin pour « On n’est plus des gens normaux » publié à La Manufacture de livres.
Augustin Trapenard est également allé à la rencontre de l’actrice Isabelle Adjani qui signe un livre sur Marilyn Monroe
James Ellroy « Les Enchanteurs » (Rivages)
Le grand romancier est de retour pour une enquête dans le Los Angeles des années 60. Marilyn Monroe vient de succomber à une overdose et une actrice de série B a été kidnappée. La ville est alors plongée dans le chaos et l’effervescence…
Yasmina Reza « Récits de certains faits » (Flammarion)
L’écrivaine a assisté à de nombreux procès. Elle livre les comptes rendus et y mêle ses propres souvenirs. Elle nous raconte des éclats de la vie du monde et de la sienne, les gestes faussement banals, les expressions involontaires mais si frappantes, le tragi-comique bancal de nos existences.
Philippe Jaenada « La désinvolture est une bien belle chose » (Mialet-Barrault)
Qu’est-ce qui peut bien pousser une jeune femme qui a tout pour être heureuse à se suicider ? Philippe Jaenada s’empare d’un fait divers pour remonter le fil de l’histoire et tenter de comprendre ce geste, au fil de déambulations géographiques et littéraires.
Antoine Compagnon « La littérature ça paye ! » (Éditions des Équateurs)
Dans cet essai, l’historien prend la défense de la littérature. Il nous rappelle à quel point elle est essentielle dans nos vies et dans nos sociétés contemporaines. Loin d’être superficielle et inutile, c’est une boussole et un mode d’emploi de la vie, pour l’auteur comme pour le lecteur !
Justin Morin « On n’est plus des gens normaux » (La Manufacture de livres)
Ce premier roman aurait pu être le récit documentaire d’un journaliste. L’auteur raconte un fait divers, mais rencontre des difficultés dans l’écriture qui le fait basculer dans la fiction. Le romancier prend alors le relai pour réinventer une histoire, il interroge le réel en puisant dans l’imaginaire.
Augustin Trapenard est allé à la rencontre de l’actrice Isabelle Adjani qui signe un livre sur Marilyn Monroe, « Du côté de chez Marilyn » (éditions de L’Observatoire). À travers la figure de cette légende du cinéma, elle se livre sur son propre parcours et pose la question : « Comment se raconter et vraiment parler de soi, quand on est une icône du cinéma ? »