La Grande Librairie du mercredi 16 octobre

Dans la Grande Librairie du mercredi 16 octobre , Augustin Trapenard accueille Mazarine M. Pingeot, pour «11 quai Branly» ; Thibault de Montaigu, pour «Coeur» ; Riad Sattouf, pour «Moi, Fadi le frère volé» ; Anne-Dauphine Julliand, pour «Ajouter de la vie aux jours» ; Charlotte des Georges pour « Chiens de meute »; Edouard Louis, pour «L’effondrement».

Augustin Trapenard - la Grande Librairie

Mazarine M. Pingeot » 11 quai Branly » (Flammarion)

L’autrice revient pour la première fois dans l’appartement où elle a grandi. Elle livre un récit intime, aussi romanesque que philosophique, sur un passé revisité à la maturité.

Thibault de Montaigu “Coeur” (Albin Michel)

Quand son père malade le presse d’écrire sur son ancêtre Louis, capitaine des hussards fauché en 1914 dans une charge de cavalerie, Thibault de Montaigu ne sait pas encore quel secret de famille cache cette mort héroïque. Dans ce livre, il raconte une lignée hantée par la gloire et l’honneur. Mais aussi ce qu’il reste d’amour et de courage dissimulés dans le cœur des hommes.

Riad Sattouf » Moi, Fadi le frère volé » ((Les Livres du futur)

Ce nouveau projet repose sur les histoires que Riad Sattouf a recueillies en 2011 et 2012 auprès de son frère Fadi Sattouf. Dans ce récit, c’est Fadi le narrateur : il retrace son parcours, de son enfance heureuse en Bretagne auprès de sa mère adorée et de ses grands frères, Riad et Yahya, jusqu’à la Syrie de son père, rude et inconnue pour lui.

Anne-Dauphine Julliand » Ajouter de la vie aux jours » (Les Arènes)

L’auteure a perdu ses deux filles, Thaïs et Azylis, d’une maladie orpheline. Quinze ans plus tard, son fils aîné se suicide. Son époux et leur dernier enfant Arthur affrontent un nouveau deuil. Dans ce récit, elle interroge son présent et cherche à comprendre comment sa vie et celle de sa famille peuvent malgré tout continuer.

Charlotte des Georges « Chiens de meute » (Fayard)

Dans ce premier roman l’autrice raconte son enfance dans une famille d’aristocrates entre Paris et le Berry où l’on assiste à la chute d’une classe. Une classe qui se heurte à la dure réalité d’un nouveau monde qu’elle n’a pas anticipé. C’est aussi le roman des dysfonctionnements familiaux qui entraîneront des conséquences dramatiques.

Édouard Louis » L’effondrement » (Seuil)

L’écrivain raconte son frère. Un homme dont les rêves se sont heurtés à un monde qui ne lui a pas permis de les réaliser. Il a sombré dans l’alcool et la dépression qui ont précipité sa chute. Ce roman est celui d’un effondrement. Pour parler de ce livre, Augustin Trapenard a emmené l’écrivain dans un lieu en résonance avec son récit.

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