Lors de la Grande Librairie du Mercredi 11 septembre , Augustin Trapenard accueille Gaël Faye, pour « Jacaranda », paru chez Grasset ; Amélie Nothomb, pour « L’impossible retour », publié chez Albin Michel ; Clémentine Mélois, pour « Alors c’est bien », édité chez Gallimard ; Boris Cyrulnik, pour « Les deux visages de la résilience », paru chez Odile Jacob ; Virginia Tangvald, pour « Les enfants du large », publié chez JC Lattès.
Gaël Faye « Jaracanda » (Grasset)
Sur quatre générations, Gaël Faye nous raconte l’histoire terrible du Rwanda qui s’essaie malgré tout au dialogue et au pardon. Comme un arbre se dresse entre ténèbres et lumière, Jacaranda célèbre l’humanité, paradoxale, aimante, vivante.
Amélie Nothomb « L’impossible retour » (Albin Michel)
Invitée par une amie à l’accompagner à Kyoto, Amélie Nothomb est angoissée à l’idée d’y retourner. Sur place, elle est envahie d’émotions débordantes et de sensations intimes. Dans ce livre elle raconte le lien puissant qu’elle a avec le Japon, et comment un territoire où nous avons vécu, nous façonne et résonne en nous pour toujours.
Clémentine Mélois « Alors c’est bien » (L’arbalète/ Gallimard)
Ce roman offre un regard sensible et inattendu sur la perte et la filiation. C’est aussi l’hommage de l’artiste Clémentine Mélois à son père, ce bricoleur de génie qui lui a transmis son humour inquiet, son amour des mots et son vital élan de création.
Boris Cyrulnik « Les deux visages de la résilience » (Odile Jacob)
Le neuropsychiatre revient sur la résilience, concept sur lequel il a travaillé toute sa vie. Ce livre est également une mise en garde sur le systématisme de son utilisation aujourd’hui, qui, transposé dans n’importe quels domaines risque de le vider de son sens voire de faire des contre-sens.
Virginia Tangvald « Les enfants du large » (JC Lattès)
Fille du navigateur Peter Tangvald, Virginia Tangvald a peu de souvenirs de son enfance. Dans ce livre, elle part en quête de son histoire pour conjurer le sort, combler les blancs des archives et ancrer son identité.
« Les enfants du large » est le premier roman de Virginia Tangvald