Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part a été publié aux Editions du Dilettante en 1999.
Ce recueil de douze nouvelles nous propose des portraits de femmes et d’hommes pleins d’espoirs futiles, ou de désespoir grave. Ils ne sont pas héroïques, simplement humains. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu’il leur arrive, ils n’ont rien à prouver. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d’émotion qu’ils transportent et que révèle tout à coup la plume si juste d’Anna Gavalda. En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par ricochet nos propres existences.
Revue de presse
« Une nouvelliste est née » Le Courrier Picard
« En douze nouvelles subtiles, cette jolie blonde fait le tour de notre époque » Le Figaro
« Une douzaine de nouvelles toutes plus vives, insolentes, acides, les unes que les autres » L’humanité
« Une inconnue au talent pétillant, vif, pointu. Pour ne pas avoir l’air idiot, c’est Madamoiselle Gavalda qu’il faut lire » Le Figaro Madame
« De son écriture gracile, craquante, la pince-sans-rire au gros-coeur, fait de l’éphémère indélébile et nous chamboule, elle est vraiment terrible Anna Gavalda » Télérama
« Avec une cruauté souriante, elle traque ces mille petits travers contemporains qui gâchent tout ». Le Figaro Magazine
« Anna Gavalda est un rayon de soleil dans le ciel encombré de la rentrée » L’Aurore/Le Figaro
« D’une voix aussi douce et familière qu’un bon édredon de plume, Anna Gavalda nous enveloppe dans ses récits d’aventures très quotidiennes qui souvent dérapent, sans heurt, sans que le ton monte, dans le drame ou la farce ». Lire