Retrouvez l’actualité de la Sandale rouge sur le blog qui lui est consacré.
Le blog de la Sandale Rouge
Quatrième de couverture
Jeanne, jeune journaliste, décroche son premier CDD dans un grand quotidien parisien. Le rêve et en plus le rêve parisien ! Du moins le croit-elle… La réalité va se révéler bien différente de ce qu’elle attend. Les premiers mois sont déprimants : son voisin de bureau, un journaliste en vogue, paraît caractériel, et les sujets qu’elle doit traiter sont sans intérêt. Cantonnée au suivi des dépêches d’agence, elle se sent d’abord transparente et humiliée, mais peu à peu elle va prendre des initiatives en s’intéressant notamment à une enquête irrésolue. Faisant preuve d’audace et de détermination, elle relance l’affaire et découvre de nouveaux indices. Cet article lui permet, en outre, de faire la une du journal et de sortir de l’anonymat. Elle parvient progressivement à trouver ses marques au sein de la rédaction. Son voisin de bureau daigne enfin lui adresser la parole. Lors d’une soirée à l’Opéra, elle fait la connaissance d’un brillant conseiller en communication qui ne la laisse pas indifférente. Sa spontanéité et son ton plaisent. Elle obtient une nouvelle rubrique et de nouveaux reportages au sein du journal. On lui confie également une émission sur une chaîne du câble. Jeanne est en train de devenir une vraie Parisienne… Sa notoriété naissante lui vaut de poser pour la une d’un autre magazine et d’être invitée à des avant-premières et des soirées prestigieuses. Au retour de l’une d’elles, elle arrive, la première, sur les lieux d’un grave accident de la route. Ce qui n’aurait dû être qu’un terrible fait divers va vite devenir une affaire très dangereuse. Entre céder à la facilité et rechercher la vérité, il lui faudra choisir… A la fois comédie romantique, roman initiatique et aventure policière, La sandale rouge séduit autant par sa construction sans faille que par son rythme trépidant.
Présentation de l’auteur
Journaliste, Guy Jacquemelle a collaboré à l’Express, au Nouvel Observateur, Elle et Joyce… Passionné de nouvelles technologies, il a créé en 1999, alalettre.com , un site consacré à la littérature, qu’il continue d’animer. Il est l’auteur de deux essais : le Grand Oral de l’Ena et Citizen Cannes (Editions du Mécène).
La sandale rouge est son premier roman.
Guy Jacquemelle, l’auteur de la sandale rouge
La critique de Tatiana de Rosnay
Spirales, l’un de ses précédents romans m’a fasciné. Justine Wright, la traductrice free-lance de Moka, son avant-dernier roman, qui affronte, presque seule, les conséquences de l’accident qui a plongé son fils dans le coma m’a bouleversé. Elle s’appelait Sarah, m’a tant ému, qu’un an après l’avoir lu, le souvenir de cette jeune héroïne continue de me hanter. C’est dire comme je respecte et admire Tatiana de Rosnay. Elle est aussi, depuis le début d’Internet, l’une de ses plus généreuses ambassadrices et offre aux nombreux lecteurs de ses blogs ses découvertes et ses coups de coeur. Voilà pourquoi la critique qu’elle publie sur son blog me touche autant.
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de deux romans formidables. Le premier, qui est tout juste en librairie, c’est celui de mon confrère Guy Jacquemelle, la Sandale Rouge (chez Ramsay). J’ai lu ce roman sur manuscrit et je suis très heureuse de le voir publié. C’est l’histoire d’une jeune journaliste provinciale qui obtient un premier poste dans un grand quotidien parisien. Pas facile de rentrer dans ce monde féroce et branché quand on débarque de son Sud Ouest natal…Mais Jeanne est fine et ambitieuse, elle encaisse les coups durs, décroche de bons papiers. Elle fait son petit chemin, rencontre un séduisant enarque aux dents longues, proche d’un homme politique. Jusqu’à la nuit où elle est le temoin d’un accident mortel après une soirée de gala… Faut-il tout réveler de la vérité quand on fait ce métier là ? Qui pourra protéger Jeanne ? J’ai aimé ce roman au rythme palpitant, qui met en scène une héroïne opiniâtre, lucide et touchante…imaginée par un homme ! Un livre attachant, grand public, à découvrir rapidement. Le Blog du livre est ici.
Deuxième surprise, ma collègue et amie, la talentueuse Abha Dawesar publie son deuxième roman chez EHO le 7 mai prochain : « Dernier Eté à Paris« . Le pitch : Un auteur indien, celebrissime, quasi culte de 75 ans, usé par la vie, va rencontrer via Internet, une jeune fan de 20 ans, Maya, étudiante en lettres. C’est à Paris qu’ils vont se retrouver, en tissant une histoire d’amour particulière matinée de litterature, d’écriture, de secrets… Mais qui est la muse de qui ? Si vous avez comme moi, aimé Babyji, vous retrouverez avec plaisir la plume riche et sensuelle d’Abha.
Tatiana de Rosnay
Publier un premier roman
Publier un premier roman est un moment de bonheur intense. C’est un rêve que l’on porte en soi depuis si longtemps et qui soudain, par magie, par chance, grâce à la baguette magique d’une fée, se concrétise.
Puis il y a ce livre à peine imprimé qui se retrouve dans les mains de ses premiers lecteurs et lectrices. Et on tremble…
Ces deux dernières années, j’ai croisé Koryfée plusieurs fois au salon du livre, dans des librairies, lors de signatures d’un auteur qu’on admire tous les deux.
Quand j’ai su qu’elle avait commencé la lecture de la Sandale rouge, j’ai été fou de joie, et en même temps j’ai eu tellement peur. Qu’allait-elle en penser ?
Elle m’a envoyé ce week-end la plus belle des réponses. Avec son autorisation, j’en publie quelques extraits.
Un suspens hitchcockien
Dès les premières pages, j’ai été happée par l’histoire. Il y a une tension permanente, un rythme soutenu du début à la fin qui ne nous laisse guère le loisir de souffler (ce que je ne désirais surtout pas, bien trop impatiente de découvrir le dénouement de l’histoire, essayant d’anticiper, d’émettre mes propres hypothèses au fil du récit …).
Les détails dont vous émaillez votre roman, tant au niveau du cadre que des personnages et de leurs échanges, nous conduisent à nous mettre non plus en position de lecteur mais de témoin, catapultés au cœur d’une rédaction, suivant avec frisson les rebondissements d’une histoire d’amour. Autrement dit, bien davantage qu’on ne vous lit, on VIT cette histoire. Jeanne nous devient familière, attachante, de même que la pétillante Betty, l’émouvant Luc, Laurent et les autres personnages, nombreux, qui peuplent cette histoire. On referme le livre avec le sentiment de connaître ces gens, de pouvoir les visualiser, les entendre, voire, qui sait, les croiser dans la rue tant ils sont vivants, tant vous avez su leur donner de la chair. Plus fascinant encore, on oublie non seulement que c’est un récit et non le réel, mais aussi que c’est un homme qui tient la plume et se glisse avec une aisance remarquable dans la peau de Jeanne. Pas un seul instant je n’ai douté que ces réactions, ces réflexions, ces propos étaient dictés par la plume d’un auteur masculin. Sidérant.
Un récit captivant, haletant, dans lequel on s’engouffre à un rythme effréné en quête de la vérité sur ces affaires, de l’issue de cette histoire d’amour. Vous distillez avec talent des indices, en révélant ni trop, ni trop peu, juste suffisamment pour attiser et maintenir vivace le désir du lecteur de connaître la suite, lui laissant deviser lui-même sur les rebondissements possibles. Et de nous surprendre en nous emmenant là où on ne s’y attendait pas, en nous écartant des pistes que nous avions ébauchées. Un suspens hitchcockien. J’ai A-D-O-R-E.
Vous dressez sur ce milieu de la presse écrite un constat lucide où s’affronte d’un côté une jeune journaliste passionnée, pugnace, d’une intégrité sans faille, animée d’une certaine candeur, et un sérail où règnent l’ambition et son cortège de rivalités intestines, où l’information n’est pas toujours au service de la vérité mais de la quête de la notoriété et de l’évitement de tout remous, où les relations sont biaisées (chacun n’étant qu’un faire-valoir pour l’autre et ne devant en aucun cas lui faire de l’ombre.) Les aspirations nobles de Jeanne « ce qui fait la beauté de ce métier, c’est cette chance que l’on a de chercher la vérité et de donner au lecteur des moyens de s’informer, de se forger sa propre opinion. Etre au service de l’information, la vérifier sans cesse, être toujours en éveil, ne pas se laisser abuser par les écrans de fumée, ne pas renoncer… », ces nobles aspirations, donc, se heurtent très vite aux désillusions de la réalité. Pour autant, en véritable héroïne de Camus, elle fait sienne son aphorisme « Vivre, c’est ne pas se résigner ». Malgré les pressions, les menaces, elle suivra sa ligne de conduite jusqu’au bout, mènera son travail de journaliste tel qu’elle le conçoit et non tel qu’on veut l’y enjoindre.
Une magnifique leçon de vie, de courage, de persévérance, applicable dans bien des domaines.
Voilà quelques unes de mes impressions, celles d’une lectrice infiniment touchée par ce brillant roman et terriblement enthousiasmée par les transports qu’il lui a faits connaître.
Film réalisé par des amis pour faire connaître la Sandale Rouge.
Les premiers lecteurs en parlent
Quelques points communs avec Cendrillon
La sandale rouge n’est pas exactement une réécriture de Cendrillon. Il y a pourtant, chez l’héroïne de ce roman, quelques points communs avec la jeune princesse en haillons.
L’idée, qu’un homme se glisse dans la peau d’une femme est aventureuse. Guy Jacquemelle a relevé le défi pour son premier roman. A travers Jeanne, jeune journaliste très « province » qui part à la conquête de la presse parisienne, il nous promène de déjeuners chez Lipp en cocktails mondains. L’auteur avait déjà écrit un passionnant recueil d’entretiens sur le Grand Oral de l’Ena (Les Editions du Mécène). Son premier roman, très documenté sur le monde des médias et de la politique, fourmille de mille et une anecdotes. On se dit dès le premier chapitre, que l’intelligentsia de la Rive Gauche ne fera qu’une bouchée de cette journaliste un peu perdue. Mais, de page en page s’installe la trame d’un vrai polar et l’histoire d’une belle ascension sociale: le lecteur est ferré !
Catherine S.
Une histoire moderne, bien ficelée, parfaitement rythmée
Pour son premier roman policier, Guy Jacquemelle fait fort. Une histoire moderne, bien ficelée, parfaitement rythmée, et Jeanne, une jeune héroïne attachante que l’on voit grandir page après page. Un récit qui nous tient en haleine jusqu’au dénouement final. Emparez vous de La sandale rouge, vous ne la lâcherez plus !
Isabelle B.
Un roman haletant
Sous ce titre romantique se cache un roman haletant, qui ne vous lâchera pas. Plongé dans le monde de la Presse et de l’Information, vous suivrez les débuts difficiles d’une jeune stagiaire dans un groupe de presse parisien.
Ce récit remet à l’honneur le journalisme d’investigation. Comment l’énergie et l’audace de la jeunesse peuvent malgré les embûches faire aboutir les projets les plus fous ! Un récit sans temps mort, pratiquement un scénario de film qui donne aussi des arguments en faveur de la presse écrite, malmenée par les nouveaux médias électroniques, mais nécessairement complémentaire. Une excellente peinture de nos sociétés contemporaines. A découvrir sans tarder !
Jean-Christophe H.
Jeanne ne vous laissera pas indifférent
Guy Jacquemelle publie la sandale rouge, son premier roman (Editions Ramsay) : Jeanne, une étudiante en journalisme décroche un stage dans un grand quotidien parisien. Cette jeune héroïne, à la fois mutine et un peu candide, est très attachante. Elle se lance dans une aventure haletante qui la fera grandir mais lui fera perdre aussi quelques illusions. L’enquête qu’elle mène est semée d’embûches. On l’accompagne dans ses tâtonnements et on vit pleinement chaque retournement de situation. Jusqu’à la dernière page … Ce que j’ai bien aimé, aussi, c’est le regard ironique et pétillant d’une jeune provinciale qui découvre, un peu étonnée, Paris Rive gauche. Du suspens et de l’humour. Je suis sûre que Jeanne ne vous laissera pas indifférent.
Audrey L.
On envie son audace
Dès les premières pages, on devient complice de Jeanne, on la suit partout et l’encourage à découvrir la vérité. On admire sa ténacité et on envie son audace.
Au delà d’un milieu et d’un métier dans lesquels elle se plonge avec ferveur, elle va cogner sa jeunesse et son innocence aux comportements inavouables de certains adultes. On partage avec bonheur et intensité son expérience
Corinne V.