La Grande Librairie du mercredi 30 octobre 

Dans la Grande Librairie du mercredi 30 octobre , Augustin Trapenard accueille Pascal Chabot pour « Un sens à la vie » (PUF), Agnès Jaoui pour « La taille de nos seins » (Grasset), Marianne Chaillan « Écrire sa vie » (L’Observatoire), Etienne Kern pour « La vie meilleure » (Gallimard) et Valérie Perrin « Tata » (Albin Michel)

Augustin Trapenard est également allé à la rencontre de l’écrivain américain Richard Ford à l’occasion de la parution de son nouveau roman « Le Paradis des fous » (Éditions de L’Olivier)

la Grande Librairie - Augustin Trapenard

Pascal Chabot « Un sens à la vie » (PUF)

Le sens est partout mais sa définition, nulle part. On veut du sens pour son travail, dans ses relations, face au système. Mais que cherche-t-on en cherchant du sens ? Que cache ce Graal éternel, devenu tellement important qu’il semble avoir supplanté la recherche du bonheur ?

Pour y répondre, cette enquête montre comment le sens circule entre ce que nous sentons, ce que nous comprenons et ce que nous désirons.

Agnès Jaoui « La taille de nos seins » (Grasset)

Pour la première fois, Agnès Jaoui prend la plume et raconte : l’amitié, d’abord, indéfectible mais aussi faite de rivalités, d’étonnements, de trahisons. L’apprentissage de son genre, joyeux ou angoissant, empreint de doutes et d’injonctions parfois douloureuses. Et les humiliations scolaires, les codes sociaux, le mépris de classe, tout ce qui a forgé sa personnalité convaincue et déterminée.

Marianne Chaillan « Écrire sa vie » (L’Observatoire)

Dans cet essai, la philosophe Marianne Chaillan remet en question l’injonction qu’il faudrait être l’auteur de sa vie. Cet impératif de liberté est une imposture qui nous condamne paradoxalement à la plus grande servitude. Car trouver un véritable chemin de libération pour écrire sa vie n’est pas chose aisée.  Convoquant la philosophie, la pop culture et la littérature, l’autrice nous invite à une quête passionnante : la recherche de notre liberté, par-delà le destin et la volonté.

Etienne Kern « La vie meilleure » (Gallimard)

Le roman retrace le parcours d’Émile Coué, fondateur de la célèbre méthode qui, au début du XXᵉ siècle, pensait avoir découvert les clés de la santé et du bonheur. Un homme sincère jusque dans sa roublardise, qui croyait plus que tout au pouvoir des mots et de l’imagination.
Étienne Kern rend ici hommage à ceux qui cherchent coûte que coûte une place pour la joie.

Valérie Perrin « Tata » (Albin Michel)

Colette était une femme discrète et sans histoire. C’est du moins ce que l’on pensait. Lorsque sa nièce apprend par un coup de fil de la police qu’il lui faut revenir dans la petite ville de son enfance pour identifier le corps de sa tante, c’est le choc. Car Colette, sa tante unique, a été enterrée il y a trois ans… Les nombreuses cassettes laissées à l’attention d’Agnès lui révèleront l’autre visage de Colette, mais aussi le mystère de son propre passé.

Augustin Trapenard a rencontré l’écrivain américain Richard Ford à l’occasion de la parution de son nouveau roman « Le Paradis des fous » (Éditions de L’Olivier)

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