Le Mercredi 27 mars, dans la Grande Librairie, Augustin Trapenard reçoit Manu Larcenet pour sa BD « La Route », une adaptation du roman de Cormac McCarthy parue chez Dargaud, François Sureau pour « S’en aller », édité chez Gallimard, le paléoanthropologue Pascal Picq pour « La Marche », publié chez Autrement, et la psychanalyste et essayiste Marie de Hennezel pour « L’Eclaireuse », édité chez Actes Sud.
Augustin Trapenard est également allé à la rencontre de Pierre Bergounioux à l’occasion de la sortie en poche de son livre « Le Matin des origines » aux éditions Verdier.
Manu Larcenet « La route » (Dargaud)
L’auteur adapte en BD le roman « La route » de Cormac McCarthy publié en France en 2008. Ce récit post-apocalyptique est la quête d’un monde perdu à jamais par un père et son fils qui font face à la violence et à la barbarie. Manu Larcenet s’approprie l’univers sombre et fascinant de l’écrivain, et signe un album saisissant.
François Sureau « S’en aller » (Gallimard)
François Sureau convoque ici des écrivains qui, comme lui, ont été habités par le désir de s’en aller. En racontant leurs voyages, l’auteur revoit certains moments de sa vie : la Hongrie au moment de la chute du Mur, l’Inde et l’Himalaya, la guerre en Yougoslavie… Et nous offre une méditation sur la beauté de l’aventure.
Pascal Picq « La Marche » (Autrement)
Dans cet essai, le paléoanthropologue s’est penché sur les bienfaits de la marche et nous explique en quoi elle est indispensable à notre survie. Il nous rappelle aussi que, lié à la pensée et à l’imagination, l’exercice physique de la marche est souvent à l’origine même de l’œuvre des plus grands philosophes, de Socrate à Emmanuel Kant et à Michel Serres. Je marche donc je pense !
Marie de Hennezel « L’éclaireuse » (Actes Sud)
La psychanalyste et essayiste est une de pionnière dans la réflexion sur l’art du « bien vieillir » et celui, tabou, du « bien mourir ». Son parcours personnel, encore largement méconnu, ses choix de vie et ses expériences puisées aux sources les plus inattendues expliquent pourquoi cette femme libre est l’une des très rares personnes, capable de nous éclairer aujourd’hui de manière concrète, positive et profondément humaine sur ces questions.
Augustin Trapenard est allé à la rencontre de Pierre Bergounioux à l’occasion de la sortie en poche de son livre « Le matin des origines » aux éditions Verdier.