Le résumé
Adamsberg est confronté à des résurgences de son passé qui le déstabilisent fortement. L’enquête qu’il mène sur la mort de deux gars qui se sont fait trancher la gorge à la Porte de la Chapelle le remet en présence d’Ariane Lagarde, la médecin légiste à laquelle il s’était opposé quelque vingt-cinq ans auparavant. Un de ses nouveaux collaborateurs ne semble pas particulièrement l’apprécier, ce qui le perturbe d’autant plus que ce lieutenant Veyrenc de Bilhc est béarnais comme lui, originaire du village voisin du sien.
Enfin Camille, dont il a eu un fils, qu’il garde régulièrement, semble voguer vers de nouvelles amours et s’être affranchie de leur liaison passionnelle pour glisser vers des relations amicales, qui ne lui conviennent absolument pas.
Dans les bois éternels est le dixième « rompol » de Fred Vargas. Ses précédents livres, traduits ou en cours de traduction dans plus de trente pays, ont reçu nombre de récompenses françaises et étrangères, dont le prix des Libraires, le prix des Lectrices ELLE, le Deutscher Krimipreis.
D’après dossier de presse de l’éditeur
La Presse en parle
« Fred Vargas est une énigme. A l’instar de ses personnages, l’appréhension de sa personnalité échappe à toute étude fondée sur la pure rationalité. (.)
Le nouveau roman de Fred Vargas est touffu et peuplé de tiroirs à double fond. Les enquêtes se télescopent puis se confondent ; les fausses pistes sont aussi nombreuses que les personnages secondaires et les certitudes du lecteur aussi éphémères que celles du commissaire Adamsberg. (.)
Fidèle à son style, Fred Vargas vient de conquérir définitivement son statut de reine française du polar. »
J.-C. Buisson, Le Figaro magazine
« Ce roman de Vargas a le pouvoir de surprendre la morosité».
Rollin, Le Canard enchaîné
« Au fil des ouvrages, son style déroutant, son amour de la langue et sa passion du passé ont réussi à séduire un public de plus en plus large au point de la placer aujourd’hui en tête des meilleures ventes de romans en France. Une consécration totalement méritée. »
J.-M. Wynants, Le Soir
« Le dixième roman de Fred Vargas est totalement improbable. Ni plus ni moins d’ailleurs que les neuf précédents, et au fil du temps, ce qui apparaît comme la signature de l’auteur, c’est justement cette constance à rechercher « ce saugrenu de chacun des êtres, leur éclat individuel, leurs originalités aux effets incalculables ».»
G. Meudal, Le Monde
« Humour, audace, génie des atmosphères et des personnages secondaires, écriture à la fois épurée et évocatrice. Le dernier livre de Fred Vargas, entre polar et tragédie grecque, est un petit bijou. »
M. T. Huy, Magazine Littéraire
« Et Dans les bois éternels ne saurait décevoir ; c’est une réussite absolue. »
C. Julliard, Le Nouvel Observateur
« Chez Fred Vargas, les intrigues sont de plus en plus sophistiquées, les personnages de plus en plus tourmentés, et les criminels de plus en plus fous. Tellement fous d’ailleurs qu’ils en paraissent absolument normaux aux yeux des enquêteurs comme aux nôtres, et qu’il est impossible de les débusquer avant que ce cher Adamsberg ne trouve in extremis la solution. (.)
Le roman de Fred Vargas est si bien construit, l’histoire si bien menée et surtout si bien racontée que l’on progresse dans cette affaire sans une seconde d’ennui. »
P. Frey, ELLE
« Dans son nouveau roman très attendu, Fred Vargas croise le fer avec plusieurs intrigues et nous plonge au cour d’ambiances aussi poétiques que troublantes. Du pur Vargas, réussi et plus polar que jamais. »
B. Kernel, Femme Actuelle
« Avec sa nouvelle enquête (où l’on retrouve son flic fétiche), la romancière confirme sa place au firmament des étoiles du polar. (.) A lire le dernier Vargas, assurément, c’est du vif ! »
O. Delcroix, Le Figaro littéraire
« Celui-là et tous les autres. Dernier livre en date de Fred Vargas, Dans les bois éternels est un roman somme qui renvoie aux précédents textes de l’auteur et concentre les qualités littéraires d’une écrivaine arrivée à maturation, toujours aussi brillante dans les dialogues et le croquis de personnages, mais plus impressionnante encore dans la conduite des intrigues. »
E. Libiot, Express